Hier, je parlais du mouvement body positive. Hier, je disais que certains avaient détourné le terme grossophobie en le sortant comme un bouclier face à des évidences médicales. On m'a suggéré que j'avais tort. Aujourd'hui, j'ai passé la journée à lire des témoignages, m'informer et discuter avec des gens qui s'y connaissent en matière de violence médicale et grossophobie. Voici ce qui m'a marqué.