Presque totalement absente des archives publiques et pourchassée dans le cadre scolaire, la langue d’Oc ne se manifeste guère, tout au long du XIXe siècle et jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, qu’à travers des écrits du for privé (correspondances, mémoires,…) et des œuvres littéraires. Elle n’en demeure pas moins le véhicule d’expression privilégié de la culture populaire.