Bonjouuuur, c’est Soldat Petit Pois!
J’espère que vous allez bien, on se retrouve pour un nouvel épisode d’Oïkos comme chaque lundi. Et pour entrer en matière de la meilleure des façons, je voudrais simplement vous lire une petite citation de mon invitée du jour, parce que je suis sûre que ça va vous parler :
« Ma révolte ne me rend pas
triste et ne m’empêche pas de jouir
de l’éclat de la vie : au contraire, c’est
parce que je crois profondément en
la beauté des choses que j’en fais ma
revendication constante. »
Voilà. Dans le premier épisode de cette saison, je vous parlais de la mutation des mouvements écolo de « protéger la vie » à « vivre », tout simplement. Mon invitée du jour s’appelle Victoria Berni-André, @viviaupaysdesalternatives sur les réseaux, et vit. Ça fait beaucoup de Vi dans cette phrase d’ailleurs, et c’est peut-être parce que des vies, Victoria en parcourt plusieurs. Après avoir exercé un métier « à impact » en tant qu’ingénieure dans une collectivité territoriale où elle promouvait le tri des
déchets, Victoria a fait le choix de « déserter ».
Depuis, elle s’implique dans différentes tentatives écologistes visant à gagner en autonomie et à lutter contre la destruction des biens communs, qu’elle interroge et documente. Elle explore d’autres chemins, mais aussi, nous les raconte, ce qui est infiniment précieux, et c’est parce qu’elle sait si bien raconter les essais, les tentatives, les élans comme les échecs du mouvement alternatif que j’ai eu envie de la recevoir au micro d’Oïkos pour papoter.
En mai dernier, elle publie d’ailleurs VIVANTES ET DIGNES, DES PETITS GESTES À L’ÉCOLOGIE POLITIQUE, aux éditions Hors d’Atteinte, un livre plein de nuances et d’honnêteté intellectuelle qui présente un état des lieux de toutes les choses que Victoria a découvertes sur le chemin de la vie vécue différemment. On en parle dans cet épisode!
Bonne écoute!