Chers Frères Grand frère compatriotes. Doyen. Voici ce que nos prêtes vodoun sont capables de faire pour de l'argent. Voilà un Blanc, encore pire, femmes blanches qui touche la tunique de nos revenants, de nos ancêtres, sans que rien ne leur arrivent. C'est, continuons comme ça».
En menant ma petite réflexion sur ce que j'ai toujours entendu dire depuis mon enfance jusqu'à présent qu'il est strictement interdit à un quelconque individu de toucher la tunique des revenants, pire une femme. Et en comparant ce que je vois sur cette image, j'ai confirmé ce que mon instinct m'a toujours dit : L'africain est lui-même le mal de l'Afrique.
D'ailleurs cette affirmation ne devrait pas être quelque chose d'étrange pour le peu que nous retenons déjà de l'histoire de notre Afrique. Ce sont nos ancêtres qui vendaient nos propres frères, les bras valides, aux blancs pour l'esclavage.
Mais malheureusement en lisant les réactions des uns et des autres, j'ai compris aussi que la vérité tarde à être acceptée. Nous continuons toujours de rejeter le tord sur les autres. Tout en déclinant toutes responsabilités qui nous incombent. Écoutez chers amis, cessez un peu de se victimiser à chaque fois que nous devons normalement endosser nos responsabilités. Arrêtez de dire que les blancs volent nos valeurs culturelles juste parce que les enfants de l'Afrique ne veulent pas en prendre soin et les rejettent. Dites-moi, si vous passez tout le temps à mystifier les choses culturelles à l'endroit de vos propres frères africains avec des interdits énormes tout en étant prêt à vendre cela aux blancs sans aucun interdit comment peut-on croire en cela ou en vous ?
Vous dites au haut et fort que les blancs ont fait venir leur dieu en Afrique pour piller nos ressources or c'est vous-mêmes, à cause de l'argent, vous leur cédez cela