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GABON  Justice : Les 8 chefs d’accusation retenues contre l’écroué Léandre Nzué

L’écrou a été écroué le 15 septembre 2020 à Gros Bouquet, la prison centrale de Libreville. Le singe a fait son cinéma au tribunal, il a trop regardé le film de la planète des singes.

Les médecins français et marocaines pro-hordes des cannibales avec leurs appareils sophistiqués qu’on appelle Électrocardiographie qu’ils ont dans leur hôpital militaire, le singe au lieu d’être la tortue qui est plus intelligente dans nos contes Fang, il préfère faire le Nzué, le hyène qui pue que tout le règne animal déteste.

Comme le nègre ne lit pas, le nègre oublie nos traditions, nos contes qui sont les Victor Hugo. La sagesse Fang inculqué  par nos mamans et grand-mère depuis le  Ndoulou à la taversée du fleuve des crevettes, le Wouri.

Il oublie les conseils des vieux « a tabe sossoo » être droit dans la vie.

Hier, Maire de Libreville la capitale gabonaise, aujourd’hui, tu t’appelle monsieur écrou, moins que rien !

Aujourd’hui, ta singerie est stoppée par la justice des hommes de la horde cannibale pour les huit chefs d’accusation.

Lors d’un point de presse du procureur de la république de Libreville, Monsieur André Patrick Roponat, il énonce les points d’accusation sont reprochés à l’écrou, Maire de Libreville.

  1.  Association de malfaiteurs,
  2. Détournement de deniers publics,
  3. Blanchissement de capitaux,
  4.  Extorsions de fonds,
  5.  Concussion,
  6.  Corruption passive
  7.  Chantage
  8. Faux, usage de faux et complicité de faux tour à tour.