Communiqué de presse de la Société civile : rupture consommée entre l’Eglise et le pouvoir en place au Gabon
Dans leurs missions régaliennes de prévention des violations droits de l’Homme, les organisations de la Société civile ont déployé plusieurs observateurs sur terrain tant à Libreville, la capitale jusqu’à l’intérieur du pays .
Elles ont assuré la surveillance de l’application par les fidèles chrétiens du mot d’ordre d’ouverture des églises lancé sous le leadership de l’Archevêque Métropolitain de Libreville.
De prime à bord, il convient de lui rendre hommage et de retenir que l’Archevêque Métropolitain de Libreville, Monseigneur Jean Patrick IBA BA, soutenu par la Conférence Episcopale a gagné son pari contre le régime en refusant de se soumettre aux ordres d’un pouvoir autiste qui n’a aucune limite dans sa volonté à violer les libertés fondamentales dont la liberté de croyance et l’expression libre de la foi, ce qui constitue une violation inacceptable de l’article 18 du Pacte International sur les droits civils et politiques qui consacre la liberté religieuse. La détermination des Evêques Catholiques, soutenue par les nombreuses communautés charismatiques et de Réveil vient restaurer l’honneur et le prestige des églises chrétiennes au Gabon, un espoir pour un Gabon Libre.