Hugo offre ici une réflexion sur le laid et le beau en faisant la description de deux créatures aux apparences repoussantes : l'araignée et l'ortie.
Deux mouvements significatifs se distinguent:
1. Les 4 premiers quatrains : l'éloge paradoxal des deux "créatures".
2. Les 3 derniers quatrains : l'invitation du poète à la compassion et à l'amour universel.