Je voyais les buissons tout couverts de feuillage
Répandre sur la fleur un salutaire ombrage
La forêt desséchée endurcie aux frimats
Semble être transportée en de nouveaux climats,
Par son verdoyant dôme où sa tige nouvelle
Promet un abri sûr à l’amante fidèle
Le roman de la Rose, I.
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Lu, écrit, monté par Le Stryge.
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