Depuis que le cinéma existe, il est enfermé dans une petite chambre, la caméra, qui permet le miracle du 7ème art, la magie opérer devant nos yeux.Sur tous les écrans, depuis Meliès, pourtant, les films ont mis un certain temps avant d'entrer dans une carcasse comme celles des sous-marins.
Nous en avions parlé dans nos deux premiers numéros de notre saga consacrée à ces films de sous-marins, le défi technique est immense, pour les cinéastes, et de tous temps.
Bon, certes, en 1910, me dirait Tonton Meliès, la caméra était elle-même plus grosse que le sous-marin. Mais à la rigueur ! Que dire, après notre kit d'initiation pour parler des films de sous-marins en soirée, puis une découverte des sous-marins soviétiques dans notre seconde partie, que dire donc de cette conclusion que nous tisserons ce soir, rivets par rivets, bombe nucléaire par bombe nucléaire, dans les films américains ?
Eh bien nous nous demanderons si l'argent fait le bonheur, les gros budgets les meilleurs films, avant d'explorer l'avenir de ces films si particulier, et claustrophobique dans notre partie podcast.
Nous prendrons le temps de saluer un autre tonton, Jules Verne, pour évoquer 20000 lieues sous les mers, et d'évoquer notre cousin loufoque Wes Anderson, pour évoquer la vie aquatique, en 2003