Quand on parle de bonheur on peut avoir en tête la chanson de Christophe Maé : « il est où le
bonheur », on peut regarder des films comme intouchable, le Fabuleux destin d’Amélie Poulain ou
Forrest Gump. On peut penser avec les Hobbit du Seigneur des Anneaux, que le bonheur c’est de
fumer de l’herbe à pipe bien tranquillement dans la comté, ou avec les adeptes de la détente que
le bonheur c’est de passer une après midi dans un spa à grosse bulle… Mais quand on entend
l’Evangile d’aujoud’hui on se dit que là Jésus a un peu déconné, qu’il peut d’ores et déjà virer son
responsable de la communication, parce que la vision du bonheur selon Jésus … bah je sais pas
vous mais moi ca me fait pas rever ! Ca me rappelle plutôt la chanson de Bref « qui parle de
bonheur a souvent les yeux tristes… »
Et au quotidien on rencontre des gens heureux dont balavoine se réjouit, et des malheureux, des
bénis et des maudits, des perdus ou ceux qui ont la foi. Mais j’ai une bonne nouvelle: ce n’est pas
une fatalité, nous ne naissons pas bénis ou maudit, nous le devenons. Car il n’y a pas de fatalité
pour nous catholiques. Il n’y a pas de fatum qui nous écraserait et auquel nous ne pourrions
échapper. Il n’y a pas de karma qui nous enfermerait à l’éternelle répétition
Il n’y a pas de détermination sociale qui nous assignerait dans un rôle.
Il y a une liberté, le choix que je fais, Ce choix qui transforme ma vie