« Seigneur, je ne suis pas digne… » Si nous mesurions la portée des paroles du païen, du centurion (Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dis seulement une parole et…) qui sont entrées dans la liturgie de l’Église, alors nous aurons moins de difficultés à aimer ou à prendre le chemin du Pardon.