On dit souvent que la pandémie a été un moment où les contacts sociaux ont été réduits. Cette affirmation est à moitié vraie. Malgré la pandémie, les parents de partout au Québec ont été capables de se rassembler pour revendiquer leur droit à des services de garde de qualité. Cette année, leur lien de solidarité s’est d’abord créé sur Internet dans un élan de témoignages publics. Avec nous aujourd’hui, la candidate au doctorat en communication Anaïs Maillard, qui nous parle des usages militants et féministes des technologies numériques. En nous parlant d’autres mouvements sociaux, elle nous montre le potentiel de même que les limites des médias sociaux pour Ma Place au Travail. Les changements paraissent parfois petits, mais sur le long terme, les petits pas qui sont faits forment un chemin qui nous permet de croire que demain sera meilleur qu’hier.