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Description

Salut les p'tits lus !


Le soleil brille et je peux tranquillement m'occuper de la chronique de ce vendredi. Un petit café pour m'accompagner et vous parler d'un nouveau roman.


(Tu en fais des tonnes là ! Si tu allais à l'essentiel au lieu de tourner autour du pot !) Ouaaaa, tu t'es levée du pied gauche la p'tite voix ? Prenons le temps de découvrir le premier roman de notre cher Gaëtan Ballester, jeune boulanger provençal. (Le jeune homme qui écrit des nouvelles sur les clones ?) C'est exactement ça, Imédébasket, je parle bien de ce Gaëtan-là. Il faut croire qu'il aime être martyrisé par mes soins, car il m'a proposé de lire "Les morts insignifiants". Le titre en lui-même est déjà lourd de sens.


Ce livre est diffusé par le biais de BOD depuis le 14 octobre 2021 (héhé un jour avant ton anniversaire !) Ne rappelle pas les sujets qui fâchent s'il te plaît. Donc il fait 240 pages pour un prix très raisonnable de 14,90 euros. Chaque départ de chapitre est embelli par une illustration en noir et blanc de la main de l'auteur. La couverture est également une réalisation de Gaëtan représentant deux porcelets attachés par le groin sur un fond jaune/orangé. (Euhhh, il a de drôles d'idées ce garçon tout de même !) Eh bien pour tout dire, la couverture a autant de sens que le titre. On comprend vite ce choix après la lecture du livre.


La quatrième de couverture est tout aussi claire et directe, ce que j'apprécie. La voici.


"Paris est une capitale monstrueuse. Elle dévore et vomit ses habitants sur ses trottoirs, sans demander son reste. Cédric pensait pouvoir y vivre sa nouvelle vie… Sa rencontre avec Marion Müller, une dirigeante de friperie atypique, arrivera-t-elle à le sortir du trou à rat dans lequel il s'est enterré ?


La Grandeur n'a pas de prix.


Prostitution, ambition et richesse s'entrechoquent face à un passé sombre et au souvenir d'Amélia."


(Cela semble terriblement noir et dangereux !) C'est à la fois ça et bien autre chose.


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