Ce qui intrigue dans l’antre de l’infini ce sont tous ces I… des I des I et puis des I…, une pluie de I … tout en prosodie, tout en pyrotechnie !
Ce champ de i dans un mot si petit… ou pas si grand mais attention au petit de l’infini.
Il pourrait bien, lui aussi, s’avérer infini.
Pourquoi tant de I. Un I, des I mais pour quoi pour qui ? Pour être uni dans l’infini fini ou le fini infini ?
A vrai dire, j’ouïe dire que l’infini n’est pas fini… mais pourquoi donc vouloir mêler tous ces I pour finalement ni finir ni infinir ? Bref, queneni, car oui, si si, il y a bien du fini dans l’infini.
S’abasourdir de I pour ne pas se heurter à l’insolente et vertigineuse fin de l’infini ! Oh que oui… ça donne le tournis !
Inifini qui nous laissent pourtant fini face à lui qui vit à l’infini. L’envie d’un récit se fait-elle peut-être par ici dans cette unique mélodie ?
Dans l’infini, quoi qu’il soit écrit, moi je lis, en toute poésie que le lien réside dans l’UN de L’UN.. fini…dégourdi, affranchi, abasourdi épanoui… Car oui, tous ces I laissent place à l’invention subtile qui nous relie à l’infini…
Et toi, es-tu Je de mots ? Et quelle trace salvatrice laisses-tu sur ton passage ?