Pétillance... ce mot tout fou fou, ce mot « artifice » s’ouvre sans à priori sans chichis sur l’explosion des couleurs de la vie, à l’image d’un millifiori...
Joyeux, radieux, généreux... ses bulles s’accrochent, se confondent et s’accordent aux dissonances, pour que cela balance, dans un swing qui chatoie, qui se mire et qui s’évade...laissant place au liant, au brillant, au luminaissant dans la folie de l’instant.
Ça claque, ça fouette, ça crépite, ça éclate, ça chante et ça jacasse dans la foultitude de résolutions. Sa palette de couleurs, infinies, vives et séduisantes, s’affole et se dessine avec justesse, délicatesse malgré l’ivresse et l’allégresse....
La pétillance... hummm quelle insouciance !
Inaperçue et pourtant subtile, la pétillance, à l’évidence, se manifeste. Elle rythme l’Aura, halo mystérieux et délicieux qu’elle invite dans son sillage, éthéré, fragile et imperceptible...
Oui...elle se glisse dans le subtil car cette insouciance, gracieuse, allègre et virtuose dénote d’un « possible » car même petit il reste agile et non moins habile.
Peu importe son nom, sa légèreté, sa couleur, son imaginaire, sa consonance...
Peu importe son sens, son intensité, sa saveur, son élégance, sa pertinence...
Peu importe son odeur, sa vivacité, son dessein, son chemin, sa convenance...
La pétillance, dans toute son impertinence offre à ma joie l’empreinte de ma reliance...
Et toi, es-tu Je de mots ? Et quelle trace salvatrice laisses-tu sur ton passage ?