« Si tu fais des marmots pense à être là. » ça ce sont les paroles de Booba dans « Petite fille ». 👧🏻
Bien que cette chanson soit récente, cette maxime m’a toujours habité depuis mon plus jeune âge. Pour moi : nous avons vis à vis des enfants un sens du devoir qu’on ne doit jamais oublier : rien de pire qu’abandonner. Cette maxime m’a tellement habité que même si je n’ai pas d’enfant aujourd’hui, je sais que je veux en avoir seul. Je me dis qu’au moins, je serai le seul responsable de ces-derniers et que je ne laisse pas la place à autrui pour les décevoir. Ça c’est ma réalité, mon envie.
Cependant si je ne veux pas rester dans un fantasme de ce que serait être un papa seul, il était important que je me confronte à une autre réalité. Cette confrontation je l’ai trouvé en discutant avec @jaimelimage 📸. Au-delà d’une confrontation cette discussion a surtout été une bénédiction. Parce qu’outre son sens du devoir et de la responsabilité, j’ai vu en lui toute l’ampleur de l’amour que l’on pouvait porter à son enfant.
On le sait : notre société met au monde des hommes malades du patriarcat et de la misogynie, et trop souvent, cela se manifeste par des papas qui abandonnent leur rôle. Alors même si l’idée n’était pas de rendre exemplaire ce qui est juste normal, sociologiquement j’étais obligé de m’entretenir avec Jali et de comprendre pourquoi même seul il assume son rôle de papa quand certains de nos paires ne le font pas.
Les réponses à cette interrogation se trouve dans cet épisode « Papa seul », et je vous invite à écouter cela 👨👦.
Une pensée à tous les parents seuls, et aux hommes en général : n’oublions jamais que nous élevons de futurs maris, frères, et papa.
Prenez soin de vous et de vos enfants.
Paix & 888
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