La fin d’un racisme sans fin… après j’arrête, puisqu’en tant qu’artiste, je n’ai pas à me comporter en experte décoloniale ou en professeur·euse de philosophie.
C’est mon art, point, qui me pousse à travailler sur moi, et c’est ce que je partage ici !
Donc voilà, après 6 h d’échanges et de réflexion en équipe autour de l’homme-flux dans un monde néolibéral et de l’art nègre comme sortie de l’homme-meuble… ce petit monologue de moins de 6 min : juste un petit cauchemar bien traumatisant que j’espère transformer un jour en performance réelle.
Je vous souhaite une très mauvaise écoute
"Interdit aux moins de 18 ans
Horrible mais honnête !
Un, deux, trois : cauchemar !
Gênée mais pas trop !
Quand t'accouches du mot de Cambronne
Je suis, donc je chie !
Un trône dans la ville.
Kleenex / interaction
Une tête dans le cul !
Place de la Motte
Sans chiottes, sans papiers, mais soulagée !
P’tit air incognito de celle qu’a rien fait !
L' instal que t’essaies d’oublier !
Je la pose en place publique
Des égouts et des couleurs
Souffrance niée, raciste soulagé
Tire la chasse et n’en parle plus !
Liberté, égalité, va te faire niquer !
« Impossibilité d’aboutir » est son nom !
Une partition en note négative !
Prophétesse multiculturelle
Fuck the Borders ! "