On caresse tous des rêves d’enfants, et parfois ces derniers viennent ensuite orienter nos choix et décisions a l’age adulte. C’est le cas de Thomas, expatrié à Stockholm depuis 9 ans, qui a voulu partir à la poursuite de ses rêves les plus fous.
En parfaite symbiose avec l’art de vivre suédois qui rythme son
année, Thomas alterne entre étés magiques aux nuits éternelles,
profitant des températures douces en extérieur sous fond d’aurores boréales et hivers interminables calfeutres chez lui
dans une ambiance cocooning, un délicieux chocolat chaud à la main sous le clair obscur des bougies qui parsèment son
intérieur.
Est il possible de vivre une expatriation sans obstacles et sans
embûches ?
Comme attaché viscéralement à cette capitale scandinave, il semble avoir toujours mené la belle vie a Stockholm.
C’est une légerté déconcertante et un naturel passionné, décomplexé que Thomas insuffle à travers ce témoignage. Comme capturé par la Venise du Nord tant ses charmes sont envoûtants, on pourrait presque dire qu’il a été victime du syndrome de Stockholm non ?
Thomasn nous prouve ici que l’adaptation à une autre culture peut aussi être une évidence. Que « intégration »
peut finalement rimer avec « fusion ».
So, let’s go to Stockhlom ?