Dans ce deuxième épisode, deux élèves de l’école du Théâtre du Chapeau partagent leur expérience du clown. Élisabeth, 73 ans, pratique le clown depuis sept ans et se réjouit de ne pas être “périmée” clownesquement. Pascale, 58 ans, travaille dans le numérique et est devenue clown depuis six ans. Elle jubile dans cette nouvelle aventure.
Impressionnées mais motivées, elles se sont lancées dans ce nouveau jeu, le Clowncast by TDC, en disant un grand OUI ET. Place à leurs récits riches en émotions, réflexions, et éclats de rire.
Intro
Le clown au Théâtre du Chapeau, c’est une aventure addictive : dès qu’on commence, on ne peut plus s’en passer ! Alice et Patrick, les enseignants, ont bien compris les rouages de cet engagement passionné.
1:47 – Souvenirs des premières fois
- Porter son nez rouge pour la première fois, affronter le regard du public et s’exposer.
- La scène est un espace symbolique où le clown apparaît pleinement.
4:30 – Se libérer par le jeu
- Déconnecter le cerveau, ressentir une impression de liberté.
- Être surpris par son propre corps, laisser l’action guider le jeu.
6:40 – Les transformations intérieures
- Ne plus se juger soi-même, une étape cruciale pour évoluer dans la vie et sur scène.
- Alice rappelle que le clown n’est pas un “légume décérébré”, mais qu’il reste connecté et actif.
8:43 – Quand se sent-on clown ?
- Élisabeth raconte la naissance de sa “clownette” pendant un moment de méditation.
- Pascale se décrit en “clown-surfeuse”, attrapant la vague des émotions et des surprises.
12:30 – Les costumes et la palette des rôles
- Pour Élisabeth, les costumes sont une source de libération et de créativité.
- Pascale adore se transformer devant le miroir et entrer dans des histoires nouvelles.
15:05 – Clown et théâtre : quelles différences ?
- Élisabeth distingue les états du clown de ceux des personnages théâtraux.
- Les clowns jouent avec leurs états, mais restent profondément ancrés dans leur propre vérité.
19:17 – Le public et le clown
- Anaël théorise sur les particularités du public de clown.
- Alice explique la différence entre les improvisations publiques au TDC et les performances professionnelles.
22:45 – Surfer sur la vague… ou la rater
- Quand le clown est en phase avec le public, la magie opère.
- Mais parfois, on est “derrière la vague” : une expression parfaite pour décrire ces moments de déconnexion.
24:25 – Le clown et les autres personnages
- Le clown reste lui-même, même lorsqu’il emprunte d’autres personnalités.
- Les invités révèlent leurs noms de clown avec émotion.
28:23 – Le clown dans la vie quotidienne
- Pascale explique comment le regard clown transforme les situations de la vie : plus de joie, de dédramatisation et d’illumination.
- Élisabeth parle du “OUI ET” appliqué à la vie associative et sociale.
32:45 – Une pratique régulière
- Les piqûres de rappel sont essentielles pour progresser, tout en laissant le temps à la maturation et à la digestion des expériences.
35:20 – Peut-on chausser son nez chez soi ?
- Deux avis divergents : Pascale préfère le public, tandis qu’Élisabeth trouve du réconfort en jouant seule.
37:15 – Souvenirs marquants
- Pascale se souvient d’une expérience intense au tremplin du TDC.
- Élisabeth évoque les reprises d’improvisation et la co-animation d’ateliers clown et anglais.
41:00 – Clown, cheval, et éthologie équine
- Une discussion sur la diversité des univers (écriture, musique, animaux) et leur connexion au clown.
42:37 – Tomber le masque social
- Montrer sa fragilité et enlever ses carapaces : une expérience cathartique.
43:50 – Définir le clown contemporain
- Après un grand silence, une belle définition conclut cet épisode.
- Idée originale : Alice Hachet, Anaël Verdier, Sylvie Falgairolle
- Avec : Élisabeth et Pascale
- Enregistrement, édition et mixage : Anaël Verdier
- Illustration : Alice Hachet
Retrouvez le Clowncast sur Instagram et YouTube pour ne rien manquer des prochaines aventures.
Plan de l’épisodeCrédits