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Merci Sophie Pagnon Bekaert d’avoir nourri cette réflexion. Sophie pense le sauvage et en met dans le design et l’innovation avec talent.
* L’anecdote du coq altruiste
* Les lecons de l’anecdote - je balaye des principes simples qui font pour moi une ferme sauvage. Il y a notamment l’idée de regarder la relation à soi et au reste du vivant plutôt que les objets.
* Individualiser les animaux
* Regarder la relation plutôt que les totems
* Ne pas valider les attendus et susciter l'étonnement
* Sortir de la culpabilité autour d’une posture idéale et fantasmer et, à la place, inviter, questionner, expérimenter, itérer, jouer…
* Poser une intention de faire des petits pas supplémentaires : rester curieux un peu plus longtemps, tenter encore une fois de plus de ne pas plaquer des attitudes humaines, regarder la relation plutôt que l’objet, une minute de plus, une sortie de plus, une réflexion de plus, juste un petit peu plus longtemps
* Pour les moins introspectifs, le voyage peut permettre de sentir cela consciemment ou non en changeant de cadre, de référence ou changer d’air
* Sortir de la case où on s’est assigné, où on assigne les autres et le reste du vivant, toujours plus brouiller les frontières en étant clair sur les principes
La Ferme Sauvage est un espace personnel où je partage des notes vocales prises sur le vif avec des contenus issus d'un étonnement ou qui cherchent à ouvrir le champ des possibles. Mon intention est d'enrichir nos manières de penser notre relation à la nature, au sauvage ainsi qu'aux humains et de développer une communauté curieuse de ces approches. Je glane sur l'agriculture régénérative, l'agro-écologie, le bien-être animal, le pâturage, la libre évolution, le rewilding…
