La première image que j'ai vue sur WhatsApp m'a désemparée. Comment ces islamistes osent-ils blesser et probablement agresser sexuellement ces femmes ? Il m'est parfois très difficile de demander à des jeunes femmes ce qui se passe. Nervanah m'a dit : « Ces filles portent le hijab. Les Druzes refusent de porter des vêtements. C'est une humiliation.»
On ne peut ignorer la réaction des gens, quelle que soit leur culture. Il est vrai que ces filles ont été contraintes de porter le hijab.
Les femmes portant le hijab sont celles qui ont été enlevées par les forces de Jolani et réduites en esclavage. Elles ont pu retourner à Soueïda, mais ont été contraintes de le porter.
De nombreux cas d'étudiantes universitaires ont été expulsées et expulsées de leur résidence universitaire. Leurs biens ont été confisqués par les islamistes.
En fait, sa réponse concernant le port ou non du hijab m'a intéressée. Nous devons comprendre la réaction des gens. La Syrie est connue pour être majoritairement musulmane, mais nous devons connaître les minorités.
Ces étudiantes druzes qui n'ont pas pu étudier nous ont envoyé des vidéos, à moi et à Nervana. Ce sont des étudiantes assidues qui ont d'excellentes notes à l'université, mais leurs perspectives d'avenir sont limitées.
Cet homme parle des événements du 12 juillet. Il demande un soutien et une intervention directe contre les autorités syriennes, car les étudiants druzes perdent des places à l'université. Il ne s'agit pas de problèmes mentaux ou sociaux. Les islamistes menacent de tuer lors d'émeutes et ont expulsé les étudiants druzes des universités sans raison.
Le cas d'Osama Waleed
Il n'a pas pu entrer au lycée à cause du siège imposé par le gouvernement syrien Jolani. Il parle du certificat de 3e.
Le cas de Saleh Abu :
Il parle de sa 12e année et de la façon dont les conflits sectaires ont anéanti ses rêves.
Le cas de Salam Bou Hosoun :
Elle était étudiante en ingénierie informatique à Damas jusqu'au siège. Il ne lui restait plus qu'une matière à valider.
J'ai été témoin de la pire scène au monde. De plus, des personnes soutiennent ces émeutes, venues des États-Unis et des pays occidentaux. Ces émeutes visent à éliminer les étudiants druzes de l'université.
Le cas de Salam Bou Hosoun :
Elle était étudiante en ingénierie informatique à Damas jusqu'au siège. Il ne lui restait plus qu'une matière à valider.
J'ai été témoin de la pire scène au monde. De plus, des personnes soutiennent ces émeutes, venues des États-Unis et des pays occidentaux. Ces émeutes visent à éliminer les étudiants druzes de l'université.
Je m'interroge encore aujourd'hui. Les médias japonais sont les premiers à signaler l'existence de minorités ethniques appelées Palestiniens dans le monde, à Gaza, en Judée-Samarie. Ils ignorent toujours les raisons de l'arrestation de ces personnes et de ces prétendus enfants. J'ai d'ailleurs discuté avec un chercheur spécialisé dans les Palestiniens.
Cette personne ne peut jamais être présente dans mon podcast. La population de Gaza a connu une croissance massive et, historiquement, à mon avis, la Jordanie et l'Égypte sont censées accueillir les Palestiniens. Pourtant, les médias aiment à dire que le Premier ministre Netanyahou avait tort et mentait.
Je me suis longtemps demandé pourquoi ils agissent ainsi. Est-ce à cause de cette personne ? Ou des médias israéliens ? Ou bien ? Malheureusement, j'ai découvert qu'il y a de l'antisémitisme au Japon.
De plus, les médias japonais définissent la famine à Gaza. Ils utilisent les photos fournies par le Hamas. Pourquoi aiment-ils utiliser les photos du Hamas et continuer à créer des histoires ? Ont-ils recensé la population de Gaza ? Plus de 90 % des travailleurs sont des agents de l'UNRWA. Ils sont directement responsables des prises d'otages.
D'ailleurs, ces étudiants ont surtout perdu espoir en l'avenir académique de Suwayda. Ils aspirent à une vie plus stable et paisible, tout en étudiant les domaines qui les intéressent.
J'espère que tous les gouvernements du monde auront pitié d'eux et leur permettront d'étudier comme les autres étudiants.
Enfin, j'ai posé une question à Nervanah au sujet de ces émeutes. Il s'agissait d'étudiants musulmans. Ils se moquaient des femmes druzes en groupe.
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