Nous avons rencontré Eliza pendant l'été au CADA. L'entretien s'est déroulé en plusieurs langues : entre albanais, français, espagnol, italien, quelques bribes d'anglais et beaucoup de gestes. Eliza a du fuir son pays où elle était persécutée en tant que femme. La rudesse de son récit détonnait avec son ton calme, et moments d'inattention à où elle se laissait surprendre par les va-et-viens des oiseaux à la fenêtre.