Viricelles (Loire), Vivats du vendredi 17/11/17. Sur scène, ils s'installent, Patrick Abrial côté cour, Jye côté jardin, assis dans une ellipse d'enceintes, entourés de lumières qui les auréolent. Abrial, masqué dans l'arc ombré de son chapeau, Jye, la face floutée par sa longue chevelure. Puis, les voix des deux guitares se mêlent à celle du chanteur et voici que les visages se lèvent, s'éclairent et voici que s'ouvre la sphère et nous aspire. Les sons débordent, arrivent par ondes concentriques jusqu'au creux de nos oreilles surprises... Les notes sont justement placées, les nuances s'enchaînent à la mesure des phrases. C'est à la fois carré et rond. La quadrature du cercle ?