"Ma mère... un caractère en or, doux et ferme, son amour pour mon père était démesuré sans être étouffant". Sylvie Giono ne dissocie pas ses parents, rend un hommage appuyé à sa mère, Élise. Reconnaît-on assez la place de ces femmes, modestes, uniques, essentielles, dévouées, dont la présence auprès d'époux totalement habités par une oeuvre, conditionne leur accomplissement.