Un texte critique d'Emilien Gür sur le film «Gunda» de Viktor Kossakovsky, lu par Luna Schmid et montée par Annatina Stalder. «[...] La caméra du cinéaste se tient à la surface des choses. Elle épouse la matière du réel, rendue avec une délicatesse infinie par la grâce et la précision du numérique.»