Dans le podcast du jour, on plonge au cœur de ce sujet. L'idée n'est pas de te donner une recette magique, mais de t'aider à comprendre ce qui se passe et comment agir.
Concrètement, je te partage des pistes pour :
Différencier la "bonne" fatigue de celle qui doit t'alerter.
Identifier les signaux faibles que ton corps t'envoie (sommeil, humeur, fréquence cardiaque au repos...).
Adapter ton entraînement sans tout arrêter, en jouant sur les fameuses notions de progressivité et d'écoute de soi.
L'objectif, ce n'est pas de ne jamais être fatigué. C'est de faire de la fatigue une information, un guide, plutôt qu'un frein qui te gâche le plaisir.
Crois-moi, j'ai connu ces phases où j'avais l'impression de traîner un boulet. C'est en apprenant à écouter, à ajuster plutôt qu'à forcer, que j'ai pu continuer à avancer, pas après pas.
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