L’ouverture de la 9eme édition du festival America approche. Les écrivains invités sont pour beaucoup d’entre eux encore jet lagués (c’est toujours loin l'Amérique! ) et Nicolas Dickner à peine débarqué de Montréal (sur Québec Air ou Pan American ? ) n’y échappe pas . Il nous ouvre les portes de sa chambre d’hôtel à l’heure du petit déjeuner, pour nous offrir entre deux viennoiseries frenchy sur l’avenue de Paris, en face du Château de Vincennes, des analyses improvisées sur “6 degré de liberté” (Seuil) son dernier né vertigineux après le très remarqué Nikolski (2005), puis le non moins encensé Tarmac (2009). Un récit vertigineux autour du vol d’un container nommé Papa Zoulou , c’est exquis et fou. “Le grand roman de la mondialisation”, nous dit son éditeur et il a raison.
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