« L’OIF ne sera malheureusement pas en mesure de répondre favorablement à votre demande visant à accompagner la Ceni dans l’audit du fichier électoral. » C’est ce qu’a signifié, le 3 mai, à travers une lettre fuitée, le directeur de cabinet de la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) au président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Comment comprendre cette décision ? Quelles en sont les conséquences possibles sur la suite du processus électoral ?
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