Il y a des gestes qu’on croit anodins.
S’asseoir. Travailler. Regarder un écran.
Et puis un jour, on réalise que nos vies entières se déroulent à hauteur de chaise.
Nos corps sont devenus des spectateurs silencieux.
On pense beaucoup. On produit.
Mais on ne bouge plus.
On vit dans des sociétés qui valorisent la vitesse, la performance, la connexion.
Et pourtant, jamais nous n’avons été aussi immobiles,
aussi déconnectés du monde, des autres et de nous-mêmes.
La sédentarité, ce n’est pas qu’une question de santé.
C’est aussi une question de sens.
De lien.
De liberté.
Et si la vraie résistance, aujourd’hui,
était simplement de se lever ?
De remettre du mouvement dans nos pensées,
de la lenteur dans nos rythmes,
de la présence dans nos vies ?
Marcher, c’est peut-être ça :
une manière de retrouver le monde.
De resentir à nouveau.
De respirer, de penser, et de créer autrement.
Mon invité du jour a fait de cette idée un engagement.
Après un burn-out, il a réappris à marcher : plus de dix mille pas par jour,
Créateur de l’organisme de formation LiveMentor, directeur de la maison d’édition
23h59, mon invité est aussi journaliste santé au micro du podcast
Métamorphose.
Dans son livre La Chaise tue aux éditions Eyrolles et
coécrit aux côtés de Victor Fersing,
il explore tout ce que nos postures disent de nous :
notre rapport au travail, à la santé, à l’attention, à la planète.
Et il nous invite à repenser le mouvement, non pas comme une injonction,
mais comme une manière de vivre.
J’ai la grande joie d’accueillir dans Sacrément Beau, Alexandre Dana.
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