Vivre chez soi à 14 degrés c'est le lot commun de nombreux foyers qui, pour ne pas faire flamber la facture se restreignent.
La Fondation Abbé Pierre a en 2016 diligenté une étude confiée à Bruno Maresca sur cette question.
Retour sur les conséquences de la précarité énergétique sur la vie quotidienne de ceux qui sont touchés par cette privation.
Il est beaucoup question du cout de l'énergie dans la crise des Gilets jaunes.
En premier lieu l'énergie qui permet la mobilité.
Mais d'autres précarités énergétiques existent et l'INSEEestime que plus de 620 000 ménages dépensent plus de 10% de leur budget en énergie... pour avoir froid chez eux.
Une précarité qui souvent a pour effet l'organisation de restrictions parfois drastiques et l'adaptation de son mode de vie pour réduire la facture.
Cette précarité a aussi d'autres conséquences sanitaires et évidemment environnementale.
C'est sur ces questions que s'est penché le sociologue Bruno Maresca dans une étude et un travail photographiquemené en partenariat avec la Fondation Abbé Pierre
Archive 2016
Musique Kevin Seddiki
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