A peine connus les résultats des élections du 26 mai, les grands partis ont commencé à discuter pour décider ensemble des postes à se répartir, notamment à la tête de la Commission européenne. C'est normal, estime Christophe Barbier, c'est la vie démocratique, les tractations, à conditions qu'elles se déroulent en toute transparence, en sont une composante inévitable. Des tractations dont il pense par ailleurs que le Français Michel Barnier, négociateur en chef du Brexit, pourrait être un bénéficiaire tout à fait présentable.
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