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Sans surprise, la prestation et les propositions d'Emmanuel Macron, retardées par l'incendie de Notre-Dame, n'ont satisfait personne, ni les oppositions, de droite ou de gauche, ni les syndicats, ni les représentants des gilets jaunes, dont le jugement était, il est vrai, perdu d'avance. La faute au président, qui n'a pas été assez précis, et aux journalistes, qui n'ont pas posé les bonnes questions, selon Christophe Barbier.


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