« Tout ce qui a été prélevé sur une victime de violences sexuelles reste au CPVS. Si elle change d’avis, on pourra toujours lancer la procédure ultérieurement »
Dans l’épisode d’aujourd’hui, je vous propose un entretien unique, celui de Vanessa Hubert, policière au service famille-jeunesse dans la Zone de police Montgomery à Bruxelles.
Elle nous parle longuement du CPVS, le centre de prise en charge des violences sexuelles.
En un seul lieu (l’hôpital Saint-Pierre), la victime bénéficie d’une prise en charge globale :
- Une infirmière légiste effectue les prélèvements, le constat de lésions, prodigue des soins;
- Un.e psychologue propose une prise en charge de première ligne (écoute active) ;
- Un policier, spécialement formé, prend sa déposition, si elle le souhaite ;
L’objectif est d’éviter que les victimes soient mal reçues ou découragées par les nombreuses démarches à effectuer …
Vanessa nous parle également de la prise en charge des mineurs en danger, des violences intrafamiliales, des enquêtes dans les dossiers d’adoption, et de reconnaissances douteuses d’enfants …
Bonne écoute !
Le lien vers le site du CPVS : https://www.violencessexuelles.be/centres-prise-charge-violences-sexuelles
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