Carole a fait un premier lifting à 40 ans et vient de faire le deuxième l’année dernière à 54 ans. Comme sa grand-mère et sa mère, sa peau fine résiste bien aux rides mais a commencé à se relâcher un peu trop tôt à son goût. Si elle a d’abord envisagé de recourir à la médecine esthétique, elle n’a pas été convaincue par les injections de toxine botulique et d’acide hyaluronique. Aussi, elle a préféré s’en remettre à la chirurgie, certes plus radicale mais aux résultats plus durables. Satisfaisante, cette dernière intervention s’est révélée un véritable coup de boost qui lui évite de se sentir trop en décalage, elle qui travaille avec des trentenaires.
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