« Si on conserve, c'est parce que c'est reconnu comme utile », ainsi était titré l’une de mes premières communications dans un colloque. Et elle reprenait les paroles d’une personnes travaillant dans un laboratoire de pathologie des semences.
Alors, oui, les archives ont une utilité potentielle et je vous en parle aujourd’hui car je crois que les archivistes ont pour mission de rationnaliser, de modéliser, de confirmer cette utilité dans un dialogue avec les producteurs.
Je crois également que le ce potentiel d’utilisation peu parfois être plus riche que ce qu’en pense certaines personnes et que l’archivistique c’est aussi faire prendre conscience de ce vaste horizon de potentialité des archives.
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Bibliographie indicative de l’épisode :
GEORGES (Margot), « "Si on conserve, c'est parce que c'est reconnu comme utile". Esquisse d'une définition des archives de la recherche », colloque Archiver la recherche. Pourquoi ? Comment ?, section Aurore de l’AAF – ICA, Paris, 7-10 juillet 2014, 13 p.
MOYSAN (Magalie), Usages d’archives et pratiques d’archivage dans la recherche biomédicale de 1968 à 2006. L’exemple de l’épidémiologie de la génétique, thèse de doctorat en archivistique, sous la direction de Patrice Marcilloux, Université d’Angers, 2019, 772 p.
Le texte de ma thèse est disponible sur theses.fr : https://theses.fr/2022ANGE0037
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Musique :
Titre: Inn Of Good Fortune
Auteur: Solas
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