Bonjour et bienvenue dans Le monde aujourd’hui, le podcast géopolitique par l’IA qui vous permet de rester à la page !Au menu: souveraineté numérique et TikTok, recomposition des alliances en Indo-Pacifique, cessez-le-feu à Gaza et vote au Cameroun, ressources stratégiques des fonds marins aux minéraux critiques, contestation de l’ordre international, et tendances clés du quatrième trimestre.D’abord, l’accord autour de TikTok, présenté le 11 octobre 2025 comme un moment décisif de la « guerre froide technologique ». La notion de « taxe de souveraineté » renvoie ici au prix que des plateformes étrangères doivent payer, en concessions ou en contrôle, pour opérer dans un pays. En jeu: la souveraineté numérique, c’est-à-dire la capacité d’un État à contrôler données et infrastructures. Implication possible: un internet plus fragmenté, des précédents réglementaires et des coûts de conformité accrus pour les entreprises.Cap sur l’Indo-Pacifique: le 10 octobre, des actions attribuées à Donald Trump jettent le doute sur la tenue d’un sommet des dirigeants et sur l’avenir du Quad. Le Quad est un dialogue stratégique entre les États-Unis, l’Inde, le Japon et l’Australie, souvent vu comme un contrepoids à l’influence chinoise. Toute incertitude sur sa cohésion affecte la perception de la dissuasion régionale et la coordination en matière de sécurité, de chaînes d’approvisionnement et d’infrastructures.Sur le terrain des crises, le récapitulatif hebdomadaire du 11 octobre met en avant la tentative de Trump de solidifier un cessez-le-feu à Gaza, ainsi qu’un vote présidentiel au Cameroun. Stabiliser une trêve à Gaza vise à réduire les hostilités et faciliter l’aide humanitaire. Au Cameroun, un scrutin présidentiel engage des enjeux de stabilité interne et de légitimité institutionnelle. Les dynamiques régionales et les réactions des partenaires seront à suivre.Pour prendre de la hauteur, le 10 octobre, un « Calendrier géopolitique » recense les principaux rendez-vous diplomatiques, électoraux et sécuritaires à venir. C’est un outil d’anticipation des risques et des fenêtres d’opportunité. Le même jour, RANE publie ses « Tendances du quatrième trimestre 2025 », un panorama des facteurs de risque macro-géopolitiques pour guider les stratégies publiques et privées en fin d’année.Sous la surface, le 10 octobre également, un focus sur les changements de réglementation de l’exploitation minière en haute mer. La haute mer, au-delà des eaux nationales, recèle des nodules riches en métaux essentiels à la transition énergétique. Un durcissement ou un assouplissement des règles peut redistribuer l’accès aux ressources, opposer impératifs climatiques et protection de la biodiversité, et reconfigurer la compétition entre États, entreprises et petits États côtiers.Autre dossier du 11 octobre: la « guerre mondiale contre la drogue » analysée comme un art de gouverner autoritaire, avec des coûts en droits humains. L’« art de gouverner » désigne les techniques de pouvoir pour encadrer la société. Les politiques antidrogue peuvent renforcer le contrôle étatique, au prix de violations, tout en s’inscrivant dans des coopérations transnationales qui exportent normes et pratiques.Le 10 octobre, « Décoder la contestation de l’ordre international libéral » explore la remise en cause d’un ordre fondé après 1945 sur des règles, des institutions et l’ouverture économique. États révisionnistes, puissances émergentes et mouvements sociaux questionnent interventions, asymétries et gouvernance. Implication: pression pour réformer les institutions, montée de cadres alternatifs et concurrence normative.Le 9 octobre, les « minéraux critiques » sont présentés comme le nouveau pétrole et l’or. Il s’agit de métaux indispensables aux technologies propres et au numérique. Enjeu central: sécuriser l’approvisionnement face aux concentrations géographiques, au risque d’« nationalisme des ressources », et à la nécessité d’investissement, de recyclage et de diversification des chaînes.Enfin, le 8 octobre, « Abandonner AUKUS: le cas pour l’indépendance » défend l’idée de sortir du pacte AUKUS entre l’Australie, le Royaume-Uni et les États-Unis, centré sur des sous-marins et des technologies de pointe. Les partisans de cette ligne invoquent souveraineté et autonomie stratégique; les implications touchent la posture de défense, l’industrie nationale et l’équilibre régional.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans Le monde aujourd’hui !
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