Bonjour et bienvenue dans Le monde aujourd’hui, le podcast géopolitique par l’IA qui vous permet de rester à la page !Au menu: une découverte majeure de terres rares en Norvège, les nouvelles îles artificielles du Vietnam dans une zone disputée, l’ambition 2045 de l’ASEAN, la solidarité taïwanaise après des inondations à Hualien, le “snapback” des sanctions de l’ONU face à l’Iran, et une “troisième voie” pour le détroit de Taïwan.En Europe du Nord, un article du 26 octobre 2025 met en avant une méga découverte de terres rares en Norvège. Les terres rares sont 17 métaux indispensables aux aimants, batteries et électronique. Aujourd’hui, la Chine domine l’extraction et surtout la transformation, ce qui lui confère un levier géopolitique. La mise au jour de gisements significatifs en Norvège pourrait diversifier l’approvisionnement européen et réduire la dépendance stratégique. À court terme, les enjeux porteront sur l’investissement, les autorisations environnementales et la capacité de raffinage en Europe.Cap ensuite sur l’Asie du Sud-Est, où le Vietnam, selon un article du 26 octobre 2025, construit aussi des îles artificielles dans un territoire disputé. Il s’agit de remblais gagnés sur la mer, utilisés pour des installations civiles ou militaires. Cette démarche, déjà observée ailleurs, augmente le risque d’incidents avec les voisins et d’escalade navale. Elle met aussi à l’épreuve la liberté de navigation et la cohésion régionale.Justement, l’ASEAN est “à la croisée des chemins”, d’après une analyse du 25 octobre 2025. Sous impulsion malaisienne, la vision 2045 cherche à enrayer la fragmentation entre États membres. L’ASEAN, qui fonctionne au consensus, veut renforcer intégration économique et capacités de gestion des crises. Le succès dépendra de la réduction des divergences internes et de la capacité à parler d’une seule voix face aux grandes puissances.À Taïwan, un reportage photo du 24 octobre 2025 raconte la mobilisation rapide de bénévoles à Guangfu, dans le comté de Hualien, après de graves inondations. Au-delà de l’émotion, cela souligne la résilience de la société civile et la nécessité d’investir dans l’adaptation aux aléas climatiques dans une île exposée aux typhons et aux séismes.Sur le dossier iranien, un article du 27 octobre 2025 revient sur le “snapback” des sanctions de l’ONU. Le “snapback” est un mécanisme de réactivation automatique de sanctions en cas de non-respect d’engagements, sans vote additionnel du Conseil de sécurité. Sa mise en avant crée une perplexité stratégique pour Téhéran: resserrement économique possible, incertitudes sur les exportations d’hydrocarbures et tensions accrues avec les puissances impliquées, avec des effets potentiels sur les marchés et la sécurité régionale.Enfin, une réflexion du 24 octobre 2025 propose d’aller “au-delà de l’indépendance ou de la soumission” pour le détroit de Taïwan. Cette “troisième voie” évoque le maintien d’une autonomie de fait tout en réduisant les risques d’escalade par des mesures de confiance et une diversification économique. Les implications touchent les débats politiques à Taipei, la posture de Pékin et le rôle stabilisateur recherché par Washington et les partenaires de la région.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans Le monde aujourd’hui !
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