Bonjour et bienvenue dans Le monde aujourd’hui, le podcast géopolitique par l’IA qui vous permet de rester à la page !Au programme: peine de mort en Asie centrale, condamnation de Sheikh Hasina et usages politiques de la justice, rôle de la Cour pénale internationale, frappes américaines contre des “bateaux de drogue”, futur des traités négociés par algorithmes, rébellions en Asie du Sud, et débat mondial sur l’impôt sur la fortune.En Asie centrale, le 17 novembre 2025, les appels à rétablir la peine de mort se font de plus en plus entendre. La peine de mort est la sanction par exécution d’un condamné. Le contexte: plusieurs États de la région avaient limité ou aboli cette pratique ces dernières années. Le regain d’intérêt traduit des préoccupations sécuritaires et politiques. Implication: un possible recul des normes régionales en matière de droits humains et des tensions avec les partenaires internationaux opposés à la peine capitale.Le 18 novembre 2025, une tribune souligne que la condamnation de Sheikh Hasina, figure politique majeure, illustre l’instrumentalisation de la justice. L’argument central: la perception d’une responsabilité “sélective” s’ancre, et les autocrates évitent la reddition de comptes en ne quittant jamais le pouvoir. Enjeu: crédibilité des institutions judiciaires et confiance publique, au Bangladesh et au-delà.Dans le même registre, un article du 17 novembre 2025 interroge: “Le TPI fonctionne-t-il ?”. Le TPI, la Cour pénale internationale, poursuit les crimes les plus graves. Le texte met en balance innovations juridiques et contraintes géopolitiques qui freinent enquêtes et exécutions de mandats. Implication globale: un droit international pénal qui progresse, mais reflète encore les déséquilibres de pouvoir qu’il prétend corriger.Côté sécurité maritime, le 17 novembre 2025, une analyse examine la légalité des frappes américaines contre des bateaux soupçonnés de transporter des drogues. Les “frappes létales” sont l’usage de la force armée causant la mort. Question juridique: compatibilité avec le droit international de la mer, le droit de la guerre et les garanties de procédure quand la preuve est incertaine. Risque: création de précédents pour d’autres États.Cap sur la diplomatie de demain: le 17 novembre 2025, Azira Ahimsa imagine des traités négociés par algorithmes. Un algorithme est un ensemble d’instructions permettant à une machine de prendre des décisions. Promesse: rapidité et modélisation de compromis complexes. Limites: transparence, responsabilité démocratique et biais des données. Implications: nécessité de règles pour encadrer ces outils dans les négociations internationales.Le 17 novembre 2025, le podcast Thinking Global reçoit la politologue Rumela Sen. Au menu: rébellions en Asie du Sud, défis du travail de terrain, politique népalaise et “répression transnationale numérique” — quand des États traquent ou intimident des militants à l’étranger via outils en ligne. Intérêt: éclairer les dynamiques locales de conflit et les nouvelles formes de coercition au-delà des frontières.Enfin, le 18 novembre 2025, un article soutient que les impôts sur la fortune ralentiront à peine les inégalités, tout en expliquant pourquoi les plus riches y résistent. L’impôt sur la fortune taxe le stock de patrimoine, pas seulement le revenu. Enjeu: efficacité limitée à court terme mais forte résistance politique et financière, avec des effets sur l’investissement, l’évitement fiscal et la coopération internationale.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans Le monde aujourd’hui !
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