La Grèce est sortie en 2018 de la tutelle du FMI, de la BCE et de Bruxelles. Et pourtant quatre années après son arrivée Alexis Tsipras et son parti Syriza, devraient perdre les élections anticipées de dimanche au profit de Kyriakos Mitsotakis, leader du parti conservateur "Nouvelle Démocratie" et héritier d'une dynastie politique grecque. Jacques Hubert-Rodier, éditorialiste aux "Echos", a une explication à cette déroute.
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