A 83 ans, Ken Loach continue à montrer les dommages collatéraux de l’ubérisation et de la mondialisation.
« Sorry we missed you » montre les cadences et le rythme infernal d'un livreur qui doit travailler pour ne pas mourir de faim. Derrière nos choix de vie, imposés ou subis, le recul se fait sentir. Un autre esclavage est né, bien plus pernicieux.
La famille est attaquée, mais reste le seul rempart dans ce film terrible. Quelques instants volés de bonheur, mais à quel prix ?
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