Bonjour les gens qui disent des trucs comme au moins aux USA ils ont pas les syndicats pour les emmerde cette chronique vous est dédié.
Des mois qu’on s’organise à la tête d’Amazon et de google pour éradiquer les volontés de se syndiquer des employésEn Europre déjà ils sont sur le pied de guerre. Vice racontait en septembre
les tactiques à la limite de la légalité d’Amazon pour espionner ses employés dans les pays européens avec l’aide de l’agence privé Pinkerton. Ce qu’Amazon a nié (tout en reconnaissant avoir fait appel à Pinkerton). Sur le sol américain toujours beaucoup plus hostiles à ce qu’on appelle le labor union. En septembre, une offre d’emploi d’Amazon indiquait que l’entreprise cherchait clairement des expert du renseignement capable de repérer et d’indiquer à leur supérieur les volontés de créer des syndicats. Offre retirée après avoir été médiatisée.
En 2019, aux USA, Google employait IRI, une entreprise de consulting spécialisés dans la lutte anti syndicale et connue depuis 1950 pour faire parti de l’arsenal des employeurs aux USA pour tuer dans l’oeuf toute velléité de se syndiquer chez les salariés. Apparemment tous les efforts de google ont été vain puisqu’on apprenait il y a deux jours que 200 employés californiens de google venaient de se syndiquer.
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