Le jour même de la Libération de Grenoble, les résistants qui prenaient les rènes du pouvoir dans la ville avaient été très clairs : aucune pitié ne serait accordée aux traitres à la patrie qui avaient joué le jeu de l'occupant et l'avaient odieusement servi. Dès le 2 septembre 1944, la population grenobloise pouvait constater que cette résolution n'était pas des paroles vaines.
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