Quand on entend sa voix, on a envie de se taire,
Et puis quand on le voit, on peut tomber par terre,
Non, pas la faute à Voltaire, mais à celui qui eu longtemps des airs de jeune premier,
Et pour qui on serait prêt à parier, qu’il sera vieux le dernier,
Alors non, on ne présente plus l’homme de cinéma, déjà césarisé, ni l’homme de théâtre, lui aussi molièrisé !
Mais qui connait les premiers pas sur les planches de ce petit-fils d’immigrés ?
Qui connait l’enfance éternelle de cet esthète aux mille facettes ?
Et bien vous j’espère après avoir écouté cet entretien avec Stéphane Freiss
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