La force de la poésie de Mahmoud DARWICH est insuflée par la souffrance de l’exil. Toutes ses poésies traduisent la nostalgie de son pays.
Odile HOW SHING KOY a choisi de vous lire:
«Pluie d’automne lointain» (p. 35) et
«Etranger dans une ville lointaine» (p. 39) écrites en 1969
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