A l’occasion de la COP 27, on a beaucoup parlé de la nécessité de prendre conscience de la dégradation de notre monde et des efforts à faire pour éviter ou réduire le dérèglement climatique, bref de notre responsabilité. Les changements climatiques actuels entraînent de graves conséquences pour les populations les plus vulnérables, en particulier celles de l’Afrique Subsaharienne. En effet, elles souffrent de manière disproportionnée des conséquences du réchauffement climatique alors qu’elles en sont les moins responsables.
Toutes les églises ne portent pas le même intérêt aux questions de l’environnement.
La fraternité protestante évangélique de Montpellier s’intéresse à la question via « A Rocha », une famille mondiale d’organisations de conservation qui travaille, en réponse à la crise mondiale de la perte de biodiversité, pour mener à bien des projets de conservation communautaires.
« A Rocha » soutient les chrétiens dans leur action en faveur de l’environnement par le biais de projets de conservation, de ressources pour les églises et d’une participation à des réseaux mondiaux.
Pour faire entendre la voix des plus vulnérables au changement climatique, et pour réclamer des mesures à la hauteur des enjeux, « A Rocha » a écrit avec le SEL, une association protestante de solidarité internationale et le soutien du Conseil national des évangéliques de France (CNEF), un appel au président de la République et aux ministres en charge de la transition énergétique et du changement climatique.
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