Au cours des dernières années, on a pu voir une explosion des recours aux traumavertissements, ou «trigger warnings», dans le but d’éviter à des auditoires vulnérables de revivre leurs épisodes traumatiques. On les voit de plus en plus sur les réseaux sociaux, dans la foulée de dénonciations d’actes troublants, mais ils sont aussi accolés à des contenus destinés à de plus grands publics pour ménager certaines sensibilités.
Pourtant, une méta-analyse d’études récentes conclut que, même si les intentions derrière leur utilisation sont louables, les traumavertissements restent inefficaces.
Invitée : Catherine Lalonde, journaliste culturelle
Équipe :
Meeker Guerrier, animateur
Catherine Lalonde, journaliste
Xavier Kronström Richard, réalisateur
Félix Deschênes, recherchiste
Alexis Elina, composition musicale originale
Pour joindre l'équipe du balado : balado@ledevoir.com
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