RUE RAMPONEAU Live Bastidart 2016
Paroles et Musique Olivier Hebert
C'était un appart' sous les toits. J’m’y sentais bien ce fut immédiat
J' me disais: «j' prends la vie comme elle vient»,
Dans ce vieux quartier parisien, Chez moi.
Bon c’est vrai c’était tout p’tit mais c’est comme ça partout à Paris. J’ai aussi joué les colocataires dans une ambiance plus libertaire autrefois.
A BELLEVILLE, RUE RAMPONNEAU, TOUT LA-HAUT,
LE SOIR JE GRATTAIS TRANQUILLE … SUR MON BANJO.
Ma fenêtre donnait sur la cour. Je m'y attardais un peu tous les jours. Quelques fois le soir, je prenais le temps… D'inviter le soleil couchant… Chez moi.
Mon vélo dormait sur le palier, malgré les petits mots dans l'escalier. Heureusement ma voisine préférée… Me souriait toujours au rez-de-chaussée, Plus bas.
A BELLEVILLE, RUE RAMPONNEAU, TOUT LA HAUT,
JE ME DISAIS QU ON SE TIENDRAIT CHAUD... ELLE ET MOI.
A BELLEVILLE, RUE RAMPONNEAU, TOUT LA-HAUT,
LE SOIR JE GRATTAIS TRANQUILLE … SUR MON BANJO.
C'était le temps des intermittents, des musiciens un peu étudiants,
Des amies Comédiennes à mi-temps. Tu te souviens, celle qui t'aimait bien… à Ménilmontant.
A BELLEVILLE, RUE RAMPONNEAU, TOUT LA-HAUT,
LE SOIR JE GRATTAIS TRANQUILLE … SUR MON BANJO.
A BELLEVILLE, RUE RAMPONNEAU, TOUT LA HAUT,
JE ME DISAIS QU ON SE TIENDRAIT CHAUD... ELLE ET MOI.
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COUPLET
(Eb) (Bb) (Cm) (Ab) (Cm) (Ab) (Eb) (Bb)
(Eb) (Eb) (Eb) (Ab) (Eb) (Eb) (Bb) (Bb)
RESPIRATION
(Cm) (Bb) (Eb) (Eb) (Bb) (Bb+4) (Bb) (Bb)
REFRAIN
(Ab) (Ab) (Eb) (Eb) (Cm) (Cm)
(Cm) (Bb) (Ab) (Ab) (Bb) (Bb) (Bb) (Bb)
