En 1862, une requête fut adressée au roi des Belges Léopold 1er, pour lui demander la grâce de neuf condamnés à mort. L'auteur de cette supplique avait signé : « Victor Hugo ».
Ayant appris cette supercherie, non seulement le poète ne s'en offusqua pas, mais jugeant que son intervention pouvait être utile au salut des condamnés, il remercia le plagiaire, dans une lettre ouverte, en ces termes :