Ô Dieu ! Si tu existes…
Tambring vivait dans une petite ville belge ; il se disait marxiste et athée. Sa jeune nièce tomba dangereusement malade et sa maman dut aller chercher un médecin.
Elle laissa l’enfant en compagnie de Tambring, chargé de veiller sur la malade. Soudain, la fillette demanda à son oncle de prier pour sa guérison. Très embarrassé, il s’efforça de la calmer. Mais elle se fit plus insistante :
—Oncle, si tu ne pries pas, je mourrai.
Alors Tambring, cet homme fort, tomba au chevet du lit :
—Ô Dieu ! S’écria-t-il, si tu existes, entends-moi et guéris cette enfant.
La petite sourit et s’endormit. Sa respiration se calma, tout son corps s’apaisa. Et quand la mère revint avec le médecin, celui-ci ne put que constater :
—Mais elle est guérie !
Tambring acheta une bible, se convertit à Jésus-Christ et annonça l’Evangile à tous ses anciens amis.
Ô Dieu, je te prie, guéris-la, demanda Moïse à Dieu, en faveur de Myriam, sa sœur qui était devenue lépreuse dans le livre des Nombres chapitre 12 verset 13, et elle fut guérie. Le Seigneur, aujourd’hui encore, peut répondre à la prière en faveur d’un malade. Il est encore plus certain qu’il veut se révéler à ceux qui, comme Tambring, le supplieront de se faire connaître à eux. Ceux qui me cherchent me trouvent…