Je travaillais à Paris à l'Hôpital Lariboisière depuis bien des années, mais il y avait dans ce service une atmosphère bien particulière…Je venais de changer la perfusion d'analgésique de la patiente du 212, madame Caron. Elle souffrait d’un cancer en phase terminale et gardait les yeux clos depuis la veille. Cette vieille femme me faisait penser un peu à ma grand-mère avec ses cheveux vaporeux d'un joli gris cendré ...